In short, what seems to have happened is that these two decisions made it difficult for CSIS to co-operate and share information with allied spy services, the so-called “five eyes group”, made up of the United States, the U.K., Australia, New Zealand and Canada.
Bref, il semble que ces deux décisions aient compliqué la tâche du SCRS au moment de coopérer et d'échanger des renseignements avec les services d'espionnage de ses alliés, les membres de ce qu'on appelle le Groupe des cinq, qui est composé des États-Unis, du Royaume-Uni, de l'Australie, de la Nouvelle-Zélande et du Canada.