In our opinion, the question of drugs, inasmuch as it is broader than the jurisdiction of a single government department or level of government, inasmuch as it refers to our collective ways of relating to society and others, and especially inasmuch as it demands both integration and differentiation, must be governed by an agency that is not accountable to a particular department and can define direction for (not enforce diktats on) all players.
Il ne fait pas de doute, selon nous, que la question des drogues, en ce qu’elle
ne relève pas d’une seule compétence ministéri
elle ni n’appartient en propre à une administration, en ce qu’elle touche à nos modes d’être en relation avec la société et avec les autres, et dans la mesure surtout où elle exige une capacité d’intégration en même temps que de différenciation, doit être animée par une instance qui n’est pas redevable à un ministère et qui est capable d’insuffler des directions – ce qui ne signifie pas imposer des diktats – à l’ensemble des acteur
...[+++]s.