However, he prefers, since he does it so well, to take the side of the small shareholders, the small investors, and vigorously defend the often difficult cause of these people with those who we might call “those financial monsters”, the banks and the Canadian financial system, with increasing success.
Pourtant, il préfère, comme il le fait si bien, prendre l'intérêt des petits actionnaires, des petits épargnants, et défendre, de façon magistrale, la cause souvent difficile de ces gens-là auprès de ceux qu'on peut appeler «ces monstres financiers» que sont les banques et le système financier canadien, avec un succès de plus en plus probant.