It is not a good sign that leading Canadian environmentalists from Greenpeace Canada, the Climate Action Network, the Pembina Institute, the David Suzuki Foundation, the Toxics Watch Society and the Canadian arm of the World Wildlife Fund urged Minister Ambrose to resign her position as President of the Conference of the Parties to the Climate Change Convention in Bonn last month.
Ce n'est pas bon signe que des environnementalistes canadiens réputés de Greenpeace Canada, de Climate Action Network, du Pembina Institute, de la Fondation David Suzuki, de la Toxics Watch Society et de l'aile canadienne du Fonds mondial pour la nature aient demandé à la ministre Ambrose de démissionner de la présidence de la conférence des parties à la Convention sur les changements climatiques, qui s'est tenue à Bonn le mois dernier.