My concern is that it is an unnecessary textual signal that the Chief Electoral Officer, when he or she goes abroad, could be viewed as going there only at the request—literally as the envoy—of the government of the day, and I just don't think that's wise.
Ma préoccupation, c'est qu'il s'agit d'un signal textuel inutile du fait que le directeur général des élections, lorsqu'il ou elle se rend à l'étranger, pourrait être considéré uniquement comme l'émissaire du gouvernement en place — et là uniquement à sa demande — et je ne crois tout simplement pas que ce soit sage de le faire.