Underpinning many of these concerns are some serious reservations over any border security strategy that focuses more on prediction, predicting potential risks—what I at times refer to as the needle-in-the-haystack approach, which is clearly motivated by avoiding a 9/11—rather than approaches to border security, many of which have been mentioned already, that focus more on resilience.
Bon nombre de ces préoccupations découlent des réserves sérieuses que suscite toute stratégie en matière de sécurité frontalière qui s'appuie davantage sur les prédictions, c'est-à-dire les risques potentiels — approche que je qualifie parfois de tatillonne et qui est clairement motivée par le désir d'éviter d'autres événements similaires à ceux du 11 septembre —, et non sur la résilience, comme c'est le cas de nombreuses mesures déjà mentionnées.