The proposal to utilise automatic quota cuts is doubtful in its legality, impractical and almost unenforceable and punishes the fishermen – not Member States, as my Scottish colleague said a moment ago; and most importantly, threatens to undermine the principle of relative stability.
La proposition d’imposer des diminutions automatiques de quotas est discutable du point de vue de sa légalité, irréaliste et quasiment inapplicable, et elle punit les pêcheurs - pas les États membres, comme l’a signalé notre collègue écossais tout à l’heure - et plus grave, elle menace de miner le principe de stabilité relative.