The Commission considered that the tax scheme granted by the French authorities in respect of the FPAP and its members should, as previously for case C-9/06, be analysed under the State aid scheme in relation to the advantages it conferred, on the one hand on the FPAP itself and, on the other hand, on its member fisheries undertakings.
La Commission a considéré que le régime fiscal consenti par les autorités françaises en faveur du FPAP et de ses adhérents devait, comme dans le cas du dossier C-9/06, s’analyser au regard du régime des aides d’État sous l’angle des avantages qu’il représentait, d’une part pour le FPAP lui-même et, d’autre part, pour les entreprises de pêche adhérentes.