Vertaling van "saw wayne gretzky skate " (Engels → Frans) :

You know, Mr. Chairman, I saw Wayne Gretzky skate.
Comme vous le savez, monsieur le président, j'ai vu patiner Wayne Gretzky.

He even quoted the great economic strategist, Wayne Gretzky, by saying we have to skate to where the puck is going, not to where it has been.
Il a même cité ce grand stratège économique qu'est Wayne Gretzky, en nous disant qu'il fallait se pointer là où la rondelle s'en va, non pas là où elle était.

Like the great Canadian hockey legend, Wayne Gretzky used to say, “Skate to where the puck is going, not to where it has been”.
Comme le disait le légendaire hockeyeur canadien Wayne Gretzky, il faut patiner vers l’endroit où la rondelle va se trouver, non vers l'endroit où elle a été.

When Wayne Gretzky skated nobly off into the sunset and took his last bow on Broadway, the curtain descended and the fans at Madison Square Gardens wept.
Lorsque Wayne Gretzky a tiré sa révérence et qu'il s'est incliné pour la dernière fois à Broadway, le rideau est tombé et les fans dans le Madison Square Gardens ont pleuré.

As Wayne Gretzky and Alexei Yashin skated away from centre ice, many of us thought of the young Yashin who, as a teenager, had idolized The Great One from afar; the young Yashin who, along with hockey enthusiasts throughout the country, never missed a chance to watch the Canadian genius on skates: the Great Gretzky who captivated their imagination and who took the time, as Yashin recounted, to attend a training camp with Vladislav Tretiak, a man of modesty and selflessness who, in spite of his stardom, to quote Yashin, " was willing to learn hockey from every level because he loves the game so much" .
En regardant Wayne Gretzky et Alexei Yashin s'éloigner du centre de la patinoire, beaucoup d'entre nous ont pensé au jeune Yashin, qui idolâtrait le grand Gretzky de loin lorsqu'il était adolescent et qui, comme tous les enthousiastes du hockey du pays, n'a jamais raté une chance de voir le génie canadien sur ses patins, le grand Gretzky, qui captivait leur imagination et qui s'était donné la peine, comme Yashin l'a raconté un jour, de participer à un camp d'entraînement donné par Vladislav Tretiak, Gretzky, un homme modeste et altruiste qui, même s'il était une étoile, «était prêt à apprendre le hockey de quiconque pouvait le lui enseigner tellement il adorait le jeu», pour citer Yashin.