Those Canadian subsidiaries of multinational companies were told by head office in London, New York or Los Angeles that, as Al mentioned earlier, they should focus primarily on selling Madonna and Michael Jackson on the Canadian market, and stop making risky investments in Canadian artists, particularly if they sang in French and there was no international market for them.
Ces filiales canadiennes des multinationales ont reçu, de leur siège social à Londres, à New York ou à Los Angeles, le mot d'ordre de se concentrer sur leurs activités principales, comme Al le rappelait tantôt, qui est de vendre du Madonna et du Michael Jackson sur le marché canadien et de se retirer des investissements risqués dans la production d'artistes canadiens, surtout s'ils chantent en français et qu'il n'y a pas de marché international pour eux.