There is no allegation that the SPLA itself engaged in human rights violations until several years after John had left the country, came to Canada, and ceased any connection to the group.
L’ALS elle-même n’a jamais été soupçonnée d’actes de violation des droits de la personne avant que ne se soient écoulées de nombreuses années après que John ait quitté le pays, soit venu au Canada et ait rompu toute relation avec le groupe.