Ahead of Doha, the developing world had bitterly resisted the discussion of the new issues, particularly the Singapore issues of government procurement, trade facilitation, investment, and competition policy, arguing that they had neither the capacity nor the confidence to take on new issues with the north.
Avant la rencontre de Doha, le monde en développement s'était opposé avec acharnement à discuter des nouvelles questions, entre autres les questions de Singapour concernant les marchés publics, la facilitation du commerce, les investissements et la politique de concurrence, en soutenant qu'ils n'avaient ni la capacité ni la confiance nécessaires pour débattre des nouvelles questions avec le Nord.