Japan’s approval process for an MRL, otherwise known as a maximum residue level, for chemical products such as pesticides and herbicides results in unnecessary delays.
Le processus d'approbation japonais relatif à l'établissement d'une LMR — c'est-à-dire d'une limite maximale des résidus — en ce qui concerne les produits chimiques, par exemple les pesticides et les herbicides, entraîne des retards inutiles.