Indeed, the IMF had already recognized this logic when it rescheduled Sudan's arrears in 2002 so that the Khartoum government could repay the loans to the Arab Fund.
Le FMI a d'ailleurs reconnu ce risque lorsqu'il a révisé les échéances de remboursement des paiements en souffrance du Soudan, en 2002, de manière à ce que le gouvernement de Khartoum puisse rembourser ses emprunts au Fonds arabe.