They are called ‘separatists’ and are a ‘social evil’: at least, that is how the authorities in Hanoi interpret the constant protests of these ethnic minorities against the unabated removal of their social and economic rights – land theft, simply – and the discrimination and religious persecution by the ethnic Vietnamese, the Kinh, who consider themselves superior.
Ils sont qualifiés de "séparatistes" et de "mal social". Voilà, du moins, l’interprétation de la part des autorités de Hanoï des protestations constantes de ces minorités ethniques contre la suppression continue de leurs droits sociaux et économiques - le vol pur et simple de leurs terres -, les discriminations et les persécutions religieuses perpétrées par l’ethnie vietnamienne Kinh, supérieure, selon elle, aux autres.