But if we did not have statutory release because of these 124 offenders in 1998-99, that could potentially result in keeping many of the other 4,000 statutory releases behind bars until the end of sentence, at great financial cost and at reduced public safety in the long run, when they are released cold out into our streets and communities.
Toutefois, si la libération d'office n'existait plus à cause des 124 récidivistes de 1998-1999, la conséquence pourrait bien être qu'un grand nombre des autres 4 000 libérés d'office purgeraient toute leur peine derrière les barreaux et se retrouveraient dans la société du jour au lendemain, ce qui engendrerait des coûts substantiels et se traduirait par une diminution de la sécurité du public à long terme.