Since the 1970s many scientists have claimed that the practice entails a risk of resistance to those antibiotics developing in animals and being transferred to humans, notably via the food chain, with the result that those and certain other related antibiotics could no longer be used effectively in human medicine for the treatment of certain dangerous diseases.
Depuis les années 1970, de nombreux scientifiques ont soutenu que cette pratique comporte le risque d'un développement d'une résistance chez les animaux à ces antibiotiques ainsi que celui d'un transfert de cette résistance à l'homme à travers, notamment, la chaîne alimentaire, ce qui aurait pour conséquence que ces antibiotiques (ainsi que certains autres antibiotiques apparentés à ceux-ci) ne pourraient plus être employés efficacement en médecine humaine pour le traitement de certaines maladies dangereuses.