According to Mrs. Adam, RCMP officials and those who complained, fearing that francophones from New Brunswick would lose their vested rights to French language services because as a result of the new policy on linguistic requirements, are currently stuck in “radically opposed” positions.
Selon Mme Adam, les responsables de la GRC et ceux qui ont émis des plaintes, craignant que la nouvelle politique sur les exigences linguistiques n'amène les francophones du Nouveau-Brunswick à perdre des acquis au chapitre des services dans leur langue, sont actuellement cantonnés dans des positions «diamétralement opposées».