With respect to harassment based on prohibited grounds, whether it be race, sex, disability, what have you, we think this bill is a step in the right direction, in the sense that in proposed section 208 it is now clear that rather than being forced to go to the Canadian Human Rights Commission federal public servants will have the opportunity clearly to present these types of grievances at the Public Service Labour Relations Board.
Pour ce qui est du harcèlement fondé sur des motifs de distinction illicite, que ce soit la race, l'orientation sexuelle, la déficience, ainsi de suite, nous pensons que le projet de loi constitue un pas dans la bonne direction, puisque l'article 208 précise clairement que les fonctionnaires, au lieu de s'adresser à la Commission canadienne des droits de la personne, pourront présenter des griefs à la Commission des relations de travail de la fonction publique.