Among the reasons why ``softer'' issues of access are less invested in, or socio-cultural barriers are rarely addressed, is because donor governments feel they need to prove impact through concrete numbers to their taxpayers.
L'une des raisons pour lesquelles on investit moins dans les questions moins « urgentes », comme le manque d'accès aux services, ou on se préoccupe moins des obstacles socioculturels, c'est parce que les pays donateurs ont l'impression qu'ils doivent prouver l'utilité de leurs initiatives en montrant des chiffres concrets aux contribuables.