The Prime Minister explicitly ruled them in if requested by the brutal regime of Bashar al-Assad, and the motion we are debating today would open that door to air strikes there — or anywhere, for that matter.
C'est pour le moins désolant. Le premier ministre a explicitement affirmé qu'il serait disposé à procéder à des frappes aériennes si le régime brutal de Bachar al-Assad les réclamait, et la motion dont nous sommes saisis permettrait de telles frappes en Syrie, et même ailleurs.