This is due mainly to a deterioration of the primary surplus, which fell to less than 2 percent of GDP in 2004 from more than 5 percent in the late 1990s, but also to budgetary transactions which, although not affecting the deficit, hampered a rapid reduction of the debt.
Cette situation s'explique essentiellement par la contraction de l'excédent primaire, qui est passé de plus de 5 % à la fin des années 90 à moins de 2 % du PIB en 2004, ainsi que par des opérations budgétaires qui, sans pour autant influer sur le déficit, ont empêché une réduction rapide de la dette.