When we now hear that ethnically motivated databases on the Roma – and I believe these databases as such are prohibited – are being set up by the French Gendarmerie, but also by other countries, and, to a certain extent, for preventative purposes, then that really is the limit.
Lorsque l’on entend dire que des bases de données ethniques sur les Roms – et je pense que ce type de bases de données est interdit – sont mises en place par la gendarmerie française, mais aussi par d’autres pays, et, dans une certaine mesure, à des fins préventives, nous avons clairement atteint la limite.