He sets out the points he is addressing, that is the claim of counsel and his client that the latter has a right to a trial in French, which, it seems obvious to me, presupposes that documents can be produced in French.
Il expose les points auxquels il s'attaque, soit la prétention de l'avocat et de son client d'avoir le droit d'obtenir un procès en français, ce qui sous-entend, de façon évidente il me semble, l'obtention de documents en français.