Quebec wanted financial autonomy, it wanted to receive stable, predictable revenues which would grow over time, and over which it would have control, so that it would not be at the mercy of the federal government's choices.
À cet égard, le Québec et les autres provinces qui reçoivent des transferts en vertu de la péréquation, par exemple, restent toujours dépendants des sautes d'humeur du gouvernement fédéral et de ses choix.