According to the General Court, the mere fact that Ms al-Assad is the sister of the Syrian President is sufficient for the Council to be able to regard her as being linked to the leaders of Syria, particularly since it is well known that power has traditionally been exercised on a family basis in Syria, which the Council was entitled to take into account.
En effet, selon le Tribunal, le seul fait que Mme Al Assad est la sœur du président syrien suffit pour que le Conseil puisse considérer qu’elle est liée aux dirigeants de la Syrie, d’autant plus que l’existence dans ce pays d’une tradition de gestion familiale du pouvoir est un fait notoire dont le Conseil pouvait tenir compte.