In its 2004, report the European Parliament opposed keeping the opt-out in place, since this would abolish the principle of minimum regulation and allow Member States to use European social law as they please, in violation of Treaty principles and contrary to all the evidence that working time without limits poses a serious risk to workers’ health and safety as well as to the work-life balance.
L'Assemblée plénière, lors de l'examen du rapport de 2004, s'est opposée au maintien de l'opt-out, du fait que le recours à cette pratique anéantit le principe de la norme minimale et permet aux États membres de disposer d'un droit social européen à la carte, ce qui est contraire aux principes du traité et s'exerce au mépris de toutes les preuves indiquant que les journées de travail sans limitations constituent un grave facteur de risque pour la santé et la sécurité des travailleurs, et la conciliation de la vie familiale et de la vie professionnelle.