Fear justifies refusing entry to persecuted dissidents from fragile countries — refugees and advocates whose only so-called " serious crime" was to contradict power or confront oppression.
La peur sert à justifier que l'on refuse l'entrée à des dissidents persécutés venant de pays fragilisés — des réfugiés et des défenseurs des droits dont le seul « crime grave », comme on dit, est d'avoir contredit les personnes au pouvoir ou de s'être opposés à l'oppression.