The way it rolls out for us is that our own officials, our high commissioner and other officials, are circumscribed in their ability to enter into meaningful discussions on the peace process because of Bill C-36 and its implications—whether they're on the list, what status they have on the list, and how they might get off the list, etc.
De notre point de vue, nos propres représentants, notre haut commissaire et les gens qui sont en mission voient leurs activités entravées sur le plan de discussions fructueuses lors du processus de paix à cause du projet de loi C-36 et de ses conséquences—le fait que le groupe figure sur la liste, qu'il soit étiqueté sur cette liste et la façon dont il pourrait être rayé, etc.