These very powerful values — freedom, liberty, autonomy have led to an almost unanimous consensus in the biomedical ethics and legal communities: that what used to be called `passive euthanasia' [withholding and withdrawing life-sustaining treatment] is morally legitimate and ought to be legally permissible.
Ces valeurs puissantes — la liberté et l'autonomie —, [.] ont amené le milieu de la déontologie biomédicale et le milieu juridique à convenir, de façon quasi unanime, que ce que l'on appelait «l'euthanasie passive» [abstention et interruption de traitement de survie] est légitime du point de vue moral et devrait donc être permis par la loi.