When we consider the words of Correctional Services Canada that there is evidence of a substantial increase in the risk for sexual re-offending for that group of offenders with a prior history, and when we discover that the National Parole Board does not even keep track of the more than 16,000 pardons it hands out by type of crime, then we can say that there is a very small price to pay in terms of curtailing the freedoms of this group.
Lorsque nous pensons au Service correctionnel du Canada qui dit que les risques de récidive sont élevés chez les délinquants sexuels et lorsque nous découvrons que la Commission nationale des libérations conditionnelles ne consigne même pas selon le genre d'infraction les plus de 16 000 réhabilitations qu'elle accorde, nous pouvons dire que ce n'est vraiment pas un gros prix à payer pour ce qui est de limiter les libertés des délinquants de ce groupe.