The EU (the Community plus the Member States) contributes over half of all international aid (53% in 1995), and it is, therefore, increasingly important that it should sustain the role it played in Beijing. Unfortunately, there is no sign of this in the green paper: women's rights are not considered as an aspect of human rights, and women are seen more as a means of keeping the wolf from the door than as human beings having particular fundamental rights that must be respected if decent living standards are to be achieved.
Dans la mesure où l'Union européenne (Communauté et États membres) contribue pour plus de la moitié à l'aide internationale totale (53% en 1995), il est de plus en plus important qu'elle poursuive le rôle tenu à Pékin, ce qui malheureusement n'apparaît pas dans le livre vert: les droits des femmes ne sont pas abordés comme partie des droits de l'homme et les femmes sont davantage considérées comme un moyen de faire obstacle à la pauvreté que comme des êtres humains jouissant de droits fondamentaux spécifiques dont le respect est crucial pour assurer des niveaux de vie décents.