Further, as far as constitutional rights are concerned, including the right to communicate and receive services in the language of one's choice, it is clear that the latter should have priority over the former, irrespective of the framework adopted to allow public servants to work in the language of their choice.
Par ailleurs, s'agissant de traiter avec les droits constitutionnels, c'est- à-dire celui de communiquer et celui de recevoir des prestations, à ce moment-là, il est évident que ces derniers doivent avoir préséance qu'importe le cadre adopté pour donner suite au droit de travailler dans sa langue.