The outrages – one no longer dares to speak of mere infringements or minor abuses – in the industrial agro-food processing chain in the context of liberalism, competition and the frenzied thirst for profits, have actually proved lethal, even criminal, it must be said.
En effet, les outrances, on n'ose même plus parler de simples atteintes ou dérives, de la chaîne industrielle traitant l'agro-alimentaire dans un contexte de libéralisme, de concurrence et de recherche du profit effréné, se sont avérées mortifères, criminelles même, faut-il le dire.