If we think back to 1946 and the royal commission on espionage following the Gouzenko revelations, it might be argued, perhaps slightly heretically, that a forcible disclosure provision at that time would have prevented many false leads, and might have prevented a decades-long and misguided hunt, on the part of the RCMP security service, for so-called Communist front organizations.
Si nous remontons en 1946, à l'époque de la Commission royale sur l'espionnage, à la suite des révélations de Gouzenko, l'on pourrait dire, peut-être de façon légèrement hérétique, qu'une disposition relative à la divulgation par la contrainte aurait pu nous éviter à l'époque de poursuivre de nombreuses fausses pistes, aurait épargné au service du renseignement de la GRC des décennies de chasse mal avisée à ce que l'on qualifie d'organisations- vitrines communistes.