We think that the Council of Ministers was right to inform the Courts of Justice, in accordance with article 213 of the Treaty, which prohibits Commissioners from accepting, even after leaving their posts, jobs which would place them in an awkward position, given their obligations to be honest and sensitive in these matters.
Nous pensons que le Conseil de ministres a saisi, avec raison, la Cour de justice, sur la base de l'article 213 du traité, qui interdit aux commissaires d'accepter, même après la cessation de leurs fonctions, des postes qui les placeraient en porte-à-faux par rapport à leurs obligations d'honnêteté et de délicatesse.