Under the weight of so many treaties (the first being Rome and the latest Nice), Europe can no longer be regarded (as far as either individuals or the public as a whole are concerned) as something ‘international’; it is now something ‘internal’, not just in economic or market terms but from all points of view.
Après l’adoption de traités successifs, du traité de Rome au traité de Nice, l’Europe ne peut plus être considérée en matière de citoyenneté individuelle ou collective comme une matière “ internationale ”, mais comme un ensemble cohérent et un espace “ unique ” dans tous ses aspects et non pas seulement dans les aspects économiques ou de marché.