During this period, the UCC stood for the position that the Canadian government should not resort to denaturalization and deportation proceedings to deal with Canadians suspected of war crimes during World War II, since: (1) they are inadequate to determine a person's guilt or innocence as a war criminal; (2) they suppose, therefore, that another country will address this issue in Canada's place; and (3) evidence for denaturalization and deportation proceedings has become largely unavailable.
Au cours de cette période, il a fait valoir que le gouvernement canadien ne devrait pas appliquer la procédure de dénaturalisation et d'expulsion contre les Canadiens soupçonnés d'avoir commis des crimes de guerre pendant la Seconde Guerre mondiale étant donné que cette procédure est inadéquate pour déterminer la culpabilité ou l'innocence d'une personne en tant que criminel de guerre; qu'elle suppose qu'un autre pays va régler la question à la place du Canada et que les preuves nécessaires sont généralement inexistantes.