In your analysis in doing this, when you compare the educational standards, dropout rates, and outcomes of a first nations community with a rate of 80% unemployment and a majority of people on welfare against a template of a Canadian experience, which includes Rosedale and Vancouver, etc., I would think it looks much more dramatic with those kinds of proportions than if you went to east Montreal or parts in Regina where there's a large number of first nations children, or even in pa
rts of Winnipeg and north Winnipeg, for example, where the dropout rates in those schools and throughout major cities in Canada almost reach the level you've
...[+++]identified in your report.D'après votre analyse, q
uand on compare les normes de scolarité, les taux de décrochage et les résultats dans une collectivité des Premières nations—où le taux de chômage est de 80 p. 100 et dont la plupart des membres sont des assistés sociaux—aux données correspondantes pour des collectivités modèles, comme Rosedale et Vancouver, la situation paraît beaucoup plus catastrophique que si la comparaison s'appliquait à des collectivités comme Montréal-Est ou certains quartiers de Regina où le nombre d'enfants des Premières nations est élevé, et même à ce
rtains quartiers de Winnipeg ...[+++] et Winnipeg-Nord où les taux de décrochage atteignent pratiquement le niveau mentionné dans votre rapport—comme dans la plupart des grandes agglomérations canadiennes d'ailleurs.