The National Assembly, police chiefs, families of victims of murder and suicide, groups advocating for abused women and, more recently, a large construction union, the FTQ, have all said that the data on file must be preserved.
L'Assemblée nationale, les chefs de police, les familles de victimes de meurtre ou de suicide, les groupes d'aide aux femmes violentées et, plus récemment, un grand syndicat de la construction, la FTQ, l'ont tous dit: les données existantes doivent être conservées.