All I would say is that, should debates be opened on other issues, on other acts that are different and that are essentially private agreements, this is not the role of this own-initiative report, which asks the real question today of how we can mutually recognise what the case-law recognises as authentic acts.
Je dirai simplement que, si des débats doivent s’ouvrir sur d’autres questions, sur d’autres actes qui sont différents et qui sont essentiellement sous signature privée, ce n’est pas le rôle de ce rapport d’initiative qui pose bien la vraie question aujourd’hui de la reconnaissance mutuelle de ce que la jurisprudence reconnaît comme des actes authentiques.