Miss Deborah Grey (Beaver River, Ref.): Mr. Speaker, I can hardly believe that the minister would be able to tell a victim: ``I am sorry, the murderer who killed your daughter or your son just murdered one person, so it is okay''.
Mme Deborah Grey (Beaver River, Réf.): Monsieur le Président, j'ai bien du mal à croire que le ministre serait capable de dire à une victime: «Je regrette, mais comme le meurtrier qui a tué votre fille ou votre fils n'a tué qu'une personne, ce n'est pas si mal».