Secondly, Mr Hutchinson pinpointed the following fact: the international community, caught up as we are, and this applies to the World Bank – I have spoken on the subject with Bob Zoellick – and to the Commission, caught up in our procedures that prevent us, when a country is plunged int
o formal democracy, from releasing funds to show that there is a dividend to peace; this is one of the reasons why Burundi is finding
it difficult to get moving again, as is the case, for example, in Liberia,
...[+++]as is the case in the Democratic Republic of the Congo, as is the case in any country that is categorised as a post-conflict country.
Deuxièmement, M. Hutchinson a mis le doigt sur la réalité suivante: la communauté internationale, empêtrés que nous sommes, et cela vaut pour la Banque mondiale – j'en ai parlé avec Bob Zoellick – cela vaut pour la Commission, empêtrés dans nos procédures qui nous empêchent, quand un pays bascule dans la démocratie formelle, qui nous empêchent de libérer des moyens pour montrer qu'il y a un dividende à la paix, c'est une des raisons pour lesquelles le Burundi a du mal à redécoller, comme c'est le cas, par exemple, au Liberia, comme c'est le cas en RDC, comme c'est le cas dans les pays que l'on qualifie de pays post-conflit.