If we had a parliamentary oversight committee, something that has been suggested for years and was promised by Paul Martin, before he was elected Prime Minister, would there be a way for parliamentarians, bound to confidentiality rules, to check whether or not the minister is guilty of racism in this case, or if indeed there are good reasons relating to national security?
Si nous avions le comité de surveillance parlementaire — qui est suggéré depuis des années et qui faisait partie des promesses de Paul Martin, avant qu'il ne se fasse élire comme premier ministre —, y aurait-il alors un moyen pour que des parlementaires tenus au secret puissent vérifier si le ministre est raciste dans ce cas-là ou s'il y a de bonnes raisons de sécurité nationale?