As expressed in a letter dated May 27, 1996 from Archbishop Francis J. Spence, president of the Canadian Conference of Catholic Bishops, to the Prime Minister, the primary responsibility of the Government of Canada is not the reform in Newfoundland's education system, which all parties agree is necessary, but the protection of minority rights under our Constitution from the arbitrary action of the majority.
Comme l'archevêque Francis J. Spence, président de la Conférence canadienne des évêques catholiques, l'écrivait au premier ministre dans une lettre datée du 27 mai 1996, le premier devoir du gouvernement du Canada n'est pas de réformer le système d'éducation de Terre-Neuve, que toutes les parties s'accordent pour juger nécessaire, mais de protéger en vertu de notre Constitution les droits de la minorité contre l'action arbitraire de la majorité.