Senator Boisvenu: I think that, in 2002, if we had protected the private life of my daughter, even just her life, rather than the privacy of the criminal who murdered her, my daughter would still be alive today.
Le sénateur Boisvenu : Je crois qu'en 2002, si on avait davantage protégé la vie privée, la vie tout court de ma fille plutôt que la vie privée du criminel qui l'a assassinée, ma fille serait vivante aujourd'hui.