The report also contains aspects that open the doors to intervention – disguised as ‘humanitarian’, ‘conflict management’ or ‘good governance’ – and does not object to the increasing subordination of development policy to ‘security’ strategies, favouring ‘development aid’ provided by soldiers or the use of its funds for purposes that have nothing to do with such aid, allocating it in accordance with the major powers’ strategic objectives, namely control of Africa’s huge natural resources, including oil.
Le rapport contient également des aspects ouvrant la porte à l’intervention – déguisée en «humanitaire», «gestion des conflits» ou «bonne gouvernance» - et n’élève pas d’objections contre l’augmentation de la subordination de la politique du développement aux stratégies de «sécurité», favorisant «l’aide au développement», apportée par des soldats ou l’utilisation de ses fonds à des fins n’ayant aucun rapport avec une telle aide, l’allouant conformément aux objectifs stratégiques des principales puissances, c’est-à-dire le contrôle des énormes ressources naturelles africaines, dont le pétrole.