Ils ont beau tenir deux langages, un pour le Canada et un pour le Québec, il y a quand même certaines limites, parce que «sédition» et «sedition», ça se ressemble, et on ne peut pas tenir ce langage au Québec, surtout quand nos avocats nous contredisent, qu'il y aura des élections partielles bientôt, que le chef de l'opposition au Québec, le fédéraliste Daniel Johnson, leur dit de mettre la pédale douce et qu'il fau
t changer le plan B vers le plan A. Donc, on se dit qu'on ne peut pas jouer ce jeu-là, ce qu'on faisait au tout début, le 4 novembre, alors qu
...[+++]e le Parti réformiste dormait encore.