What I have learned since then, through a number of access to information requests, is that although the Canadian Security Intelligence Service Act requires that all leaders of parties with more than 12 members in the House get to review appointments, my assumption was that leaders of other parties had not raised an objection.
Depuis, j'ai pu apprendre, après avoir présenté diverses demandes d'accès à l'information, que même si la Loi sur le Service canadien du renseignement de sécurité prévoit que les chefs des partis disposant d’au moins douze députés à la Chambre doivent examiner les nominations, je supposais que les chefs des autres partis ne s'étaient pas opposés à cette nomination.