All I would say is that I've never really had to order anybody on the privacy side to do anything except in response to specific decisions I make—and I've made close to 300 in the last five years—but it helps the discussion if they know, at the end of the day, I can tell them what to do, subject to review in the courts.
Tout ce que je dirais est que du côté du volet de la protection de la vie privée, je n'ai jamais dû ordonner à quiconque de faire quoi que ce soit, sauf par suite de décisions précises que j'ai rendues—et j'en ai rendu près de 300 au cours des cinq dernières années—mais la discussion est plus facile si les gens savent qu'en bout de ligne je pourrai leur dire quoi faire, sous réserve de l'approbation des tribunaux.